Une stratégie, pas une théorie fumeuse
Oublie les délires complotistes, les reptiliens ou les Illuminati.
Ce que je vais te déballer, ce n’est pas une fiction pour X Files, mais une analyse froide, posée, tirée des manuels de stratégie de contrôle qu’on applique depuis des lustres pour tenir un pays en laisse.
La fermeture de C8, le 28 février 2025, à 23h58, par l’Arcom, ce n’est pas un accident ni une lubie de bureaucrates zélés.
C’est une étape calculée, un coup d’échecs dans une guerre silencieuse pour dompter les voix qui dérangent.
Et le prochain pion à faire tomber, c’est X, le réseau d’Elon Musk.
Pas de délire, juste une logique de pouvoir, comme on l’a vu ailleurs ces dernières années.
Prends la Russie en 2022 : après avoir muselé la télé avec la fermeture de Dojd, Poutine a bloqué Twitter et Facebook pour étrangler l’opposition numérique.
Ou la Chine, qui, dès 2019, a renforcé sa Grande Muraille numérique pour étouffer Hong Kong.
Avec C8, l’Arcom a testé la censure d’une chaîne leader sous prétexte de « règles » – 7,6 millions d’amendes, un million de pétitionnaires ignorés – et ça a marché.
Pourquoi s’arrêter là ? X, c’est la suite naturelle, et ça n’a rien de farfelu : c’est une stratégie de guerre moderne, où le contrôle de l’info est l’arme suprême.
Un premier scalp avec C8, et après ?
Le 28 février 2025, C8 s’éteint à 23h58, zigouillée par l’Arcom, ce peloton d’exécution en costard qui se prend pour le gardien moral de la TNT. Un million de signatures, des hurlements sur les réseaux, Hanouna qui dégaine Zoubida TV sur Internet : on a cru à une bataille, mais c’était juste l’échauffement.
Si tu penses que la démocratie française va s’arrêter là, bien au chaud dans son cocon républicain, détrompe-toi. La fermeture de C8, c’est le galop d’essai d’une machine à censurer qui a faim.
Et le prochain sur la liste, c’est X. Oui, le réseau d’Elon Musk, ce terrain sauvage où les voix dissidentes – crades, bruyantes, vivantes – osent encore respirer.
X, l’épine dans le pied des bien-pensants
Pourquoi X ? Parce que c’est le refuge des rescapés de C8, des « fanzouzes » aux complotistes en passant par les chroniqueurs virés qui balancent leurs vérités sans filtre.
Vingt-deux millions de Français y traînent en 2025, et ça échappe aux griffes de l’Arcom, cet organe qui pue le contrôle à plein nez.
Hanouna y squatte déjà avec ses lives YouTube et ses directs FAI, Bolloré y fait résonner ses échos via CNews, et les politiques – de Zemmour à Mélenchon – y testent leurs punchlines. X, c’est l’agora qu’on ne peut pas encadrer, un cauchemar pour les élites qui veulent un pays bien propre, bien lisse, bien muet.
Le plan : une muselière légale et numérique
Comment ils vont s’y prendre ?
Facile. L’Europe leur a mâché le travail avec le Digital Services Act, ce texte fourre-tout qui somme les plateformes de traquer la « désinfo » et les « discours de haine ».
En France, ils pondront une loi express, votée en catimini, pour serrer la vis.
L’Arcom deviendra la Stasi 2.0 : suppression de comptes, amendes qui pleuvent, menace d’un black-out total si Musk ne plie pas.
Autre option, plus vicieuse : taxer les FAI jusqu’à ce que diffuser Zoubida TV ou regarder un live devienne un luxe. (peu probable cependant car la durée de diffusion max prévue de la cyberchaine est de mars à avril/mai 2025)
Le prétexte ? Une « crise » bidon – fake news avant 2027, émeute en ligne, un tweet de trop.
Macron ou son clone jouera les pères la rigueur : « C’est pour votre bien, citoyens. »
Le timing et la comédie sécuritaire
Ils frapperont avant les prochaines élections, histoire de verrouiller le narratif.
Les médias complices – TF1, France 2 – prépareront le terrain, dépeignant X comme une décharge publique, un danger pour la « cohésion nationale ».
Les Français, ramollis par des années de 20h et de pensée unique, goberont ça sans broncher.
Et si Musk résiste, ils couperont carrément X en France, comme Pékin avec Twitter. Un clic, plus rien. Rideau.
La troisième étape en cadeau ? CNews prend grade à toi…
Je ne lis pas l’avenir dans les boules de BigGlaouis, mais on peut facilement imaginer la 3e étape logique qui suit le fil de cette stratégie pour museler le pays…et C’est CNews qui risque d’y passer.
CNews reconduite pour 10 ans, vous pensez qu’elle est en sécurité du bon vouloir de l’Arcom jusqu’en 2035 ?
Vous vous trompez…
L’Arcom, bourreau en costard : les armes de la loi
En résumé, les chaînes sont réattribuées au maximum tous les 10 ans (ou 15 ans avec un renouvellement exceptionnel)
L’Arcom, ce gardien sévère des ondes, peut-elle trancher la gorge de CNews avant que ses dix cierges ne fondent ?
Oui, elle a le flingue, chargé par la loi n° 86-1067. L’article 30-1 fixe la règle : une fréquence, c’est 10 ans max, sauf si t’as merdé avant.
Mais c’est l’article 42 qui sort les griffes : l’Arcom peut sanctionner, de l’amende au retrait total.
Et l’article 42-3 précise : suspension ou révocation si les fautes sont « graves » – genre pluralisme massacré, haine en boucle ou info trafiquée.
Aboutissant : Pas si simple. Faut des preuves, un casier lourd, pas juste une envie de censure.
Sans ça, l’Arcom se prend les pieds dans son propre tapis légal.
Le bal des sanctions : comment la loi s’applique
Le script ? Un jeu d’échecs cruel.
L’article 42-1 ouvre la danse : l’Arcom constate des violations
– CNews qui bafoue l’article 3-1 (honnêteté, pluralisme, indépendance de l’info) ou sa convention, ce contrat sacré signé avec l’autorité.
Étape 1 : mise en garde.
Étape 2 : mise en demeure, un ultimatum en lettre recommandée.
Étape 3 : si ça persiste, l’article 42-3 permet de frapper fort – amendes, suspension d’émission, ou le couperet final : révocation.
Tout ça sous le regard de l’article 42-10, qui impose une procédure contradictoire : CNews peut plaider, hurler au scandale.
Aboutissant : Une exécution graduée, pas un massacre impulsif.
Exemple : CNews a déjà pris 80 000 € d’amende en juillet 2024 pour des dérapages.
Mais aller jusqu’à la révocation ? Faut une pile de preuves, sinon c’est du théâtre.
Les chaînes et les murs : les limites du pouvoir
Le hic, c’est que la loi a des garde-fous.
L’article 42-3 dit « graves manquements », mais qui juge ?
Le Conseil d’État, ce sniper juridique, peut tout annuler si l’Arcom abuse (article 61 de la Constitution sous-jacent).
Bolloré, avec ses avocats affûtés, contesterait illico.
Et l’article 1er de la loi, qui sanctuarise la liberté d’expression, complique le tableau : fermer CNews pour « censure » serait un boomerang politique.
Les réseaux s’embraseraient (si l’Arcom n’a pas fait fermé X d’ici là pour museler la rébellion)– « Arcom fasciste ! » – et la chaîne survivrait sur le web ou satellite.
Aboutissant : Une révocation avant terme ?
Un pari risqué. Juridiquement, ça peut tenir si le dossier est blindé (genre récidive post-mises en demeure).
Politiquement, c’est une grenade dégoupillée.
La ruse du temps : attendre ou frapper ?
L’Arcom, maligne, pourrait jouer la montre.
L’article 30-1 permet un renouvellement de 5 ans sans appel à candidatures (max 15 ans au total), mais après, c’est fini.
En 2025, des fréquences expirent – C8 s’est fait éjecter en juillet 2024.
Pour CNews, prolongée jusqu’en 2035 après l’appel de février 2024, une fermeture anticipée via l’article 42-3 demanderait un Everest de preuves : désinformation chronique, pluralisme en cendres (décision Conseil d’État, 13 février 2024).
Sinon, ils attendront la prochaine échéance.
Aboutissant : Attendre 2035, c’est plus propre, moins bruyant.
Frapper maintenant ? Faut des couilles et un dossier en titane, sinon l’Arcom passe pour une dictature de salon. Mais on a eue la preuve qu’avec de bonnes manipulations et le soutien du gouvernement actuel…on peut vraiment faire ce qu’on veut pour faire fermer la gueule à quelqu’un qui ne nage pas dans le sens du courant du parti politique qui domine et gouverne la France…
Mon cri dans le vide
C8 n’était qu’un amuse-gueule. X, c’est le plat de résistance dans ce banquet de la censure.
Museler un réseau où le peuple – même dans son pire bordel – peut encore causer, c’est trancher une artère de la démocratie.
On te dira que c’est pour te protéger, mais c’est pour te faire taire.
Un simple geste de changer de chaine en appuyant sur une télécommande ou ne pas fréquenter un réseau social sont des gestes suffisants pour s’auto-protéger…Pas besoin d’un organisme pour dire ce qui est bien à regarder ou ne l’est pas…c’est la base du principe de la démocratie : laisser chacun penser, dire et regarder ce qu’il veut…mais bientôt ce terme n’aura plus vraiment de sens dans ce pays si ce scenario que je vous dévoile se concrétise réellement (ce qui est fort probable)…rendez-vous sur le #SauvezX dans 1 ou 2 ans puis #censureCNews …
Si ça passe, attends-toi à une France où même ton clavier aura peur de parler.
Moi, je parie sur 2026, juste avant 2027, pour que la machine soit bien huilée.
Et toi, tu feras quoi quand l’écran noir tombera sur X puis sur CNews ?